Veaux Tendance plus lourde pour les allaitants et les croisés

Les volumes restreints permettent aux prix des très bons veaux de race pure (charolais, limousins…) ou croisés de se maintenir. En revanche, le tri des sujets plus communs est plus sensible à Saint-Laurent-de-Chamousset, Saint-Etienne, Bourg-en-Bresse et Lezay.

Pour les veaux laitiers, l’offre diminue, comme tous les ans à la saison. Les bons prim’holsteins, normands ou montbéliards se vendent sans difficulté. À Lezay, le prix des prim’holsteins a été facilement reconduit, pour se négocier de 55 à 90 € pour les sujets de 45 à 50 kg. Les sujets plus lourds, destinés à faire du jeune bovin ou convenant à l’export, se négocient de 95 à 120 €. Les veaux légers (moins de 42 kg) et fragiles restent peu demandés et mal valorisés.

La tendance des veaux normands suit celle des prim’holsteins. Quant aux montbéliards, la vente est plus fluide face à la réduction de l’offre. À Bourg-en-Bresse et à la Talaudière, les tarifs ont monté de 10 € et se situent entre 165 et 210 € pour les lots de 50/60 kg. Ils montent entre 210 et 250 € pour les supérieurs.

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